La Vierge Marie, fille de Sion, et Mère de l’Eglise qui nous invite à rencontrer Jésus qui bénit le monde.
Toute l’Eglise est présente : les créatures spirituelles qui prient, deux anges avec encens, puis les saints de toutes les époques de l’histoire de l’Église :
à droite : Saint Louis, le Saint Patron de l’église, (13 ème siècle), Saint Césaire, l’Évêque d’Arles vers 500, Bienheureux Jean Marie du Lau, il entre dans la Vie par martyre en Septembre 1792 pour sa fidélité au Pape malgré la demande de la part de la république de jurer sur la Constitution Civile du clergé qui était ultra-gallicane (refus d’obéissance au Pape),
à gauche : SainteBernadette, avec allusion à la Crau et ses brebis, (19 ème siècle), Sainte Césarie, la sœur de St Césaire, 1ere règle de la vie religieuse Féminine en Occident vers 525 à Arles, Sainte Maria Goretti, elle est morte en défendant sa virginité en 1902 en pardonnant à son assassin : « Oui, pour l’amour de Jésus, je pardonne. Je veux qu’il vienne lui aussi avec moi au Paradis. Que Dieu lui pardonne, car moi, je lui ai déjà pardonné ».
La dernière partie de l’Église présente dans le tympan est l’Église « militante », les paroissiens qui regardent le tympan.
Réalisation
Le dessin de l’œuvre est réalisé.
Le dessin est repris sur des calques, les traits sont perforés puis chaque calque est positionné sur la pierre, le dessin s’imprime sur la pierre. Il peut alors être reconstitué fidèlement au crayon.